« Ma bouche s’est ouverte définitivement, pareille à celle de l’enfant quand il naît, à la saveur de la terre mouillée », p. 112. « Les hommes peuvent retarder la volonté des Dieux. Jamais l’éviter. Les héros sont toujours vaincus et, pire, humiliés par les Dieux. Et ici, il n’y a même pas de (…)
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Ballades et escales en littérature africaine