Vous pensiez que la chanson ultra-célèbre de Cesária Évora évoquait le mal du pays, la nostalgie des plages du Cap-Vert, de leur sable fin et de leur eau turquoise ? Eh bien pas tout à fait, car c'est plutôt la nostalgie de la liberté et de l'émancipation dont il est question. Olivier Besancenot vous raconte le combat anti-colonial qui se cache derrière les paroles et la mélancolie chantée par la « diva aux pieds nus ».
Continuer la lecture…
Site référencé:
Là-bas si j’y suis
Là-bas si j'y suis
« La nation ne dépense pas le même argent pour scolariser les futures élites et scolariser les enfants du peuple »
27/10/2025
J'aime la vie, je veux choisir ma mort
23/10/2025
Ça ira !
21/10/2025
À Neuilly-sur-Seine, « on espère qu'il sera rapidement libéré ! »
21/10/2025
Gaza : panser la plaie, penser la paix
19/10/2025
« Le Guide du droitard » spécial Bretagne
17/10/2025